







[Dossier] Découvrez l'histoire de la charpente traditionnelle
L'histoire de la charpente traditionnelle débute avec celle du métier de charpentier. Déjà dans l'antiquité, la charpente en bois pour maison existe.
Pour les travaux d’isolation d’une charpente traditionnelle, la mise en œuvre est différente s’il s’agit de combles aménagés ou combles perdus. Les techniques divergent aussi en fonction des éléments constitutifs de votre charpente : chevrons, poutres apparentes, structure de fermes moins conventionnelles. Quelles sont les solutions pour isoler une charpente traditionnelle ? Faisons le point.
Pour isoler une charpente traditionnelle avec des combles aménagés, deux solutions s’offrent à vous :
La technique d’isolation sous rampants est la plus courante et la plus économique pour isoler une charpente traditionnelle. Des matériaux isolants, type laine de roche en panneaux ou rouleaux, sont insérés entre les chevrons en laissant une lame d’air. L’isolant doit avoir une résistance thermique de 6. Les pannes sont laissées apparentes quand l’épaisseur des chevrons est suffisante. Si l’espace est restreint mise en œuvre d’un pare-vapeur puis du matériau isolant.
Isoler une charpente traditionnelle est quelquefois problématique lors d’une rénovation. La technique du sarking préserve l’espace intérieur des combles. Le sarking isole la maison par l’extérieur en surélevant le toit pour permettre la mise en œuvre de l’isolant entre la charpente et la toiture. Cette solution est couteuse, mais a un rendement énergétique très performant.
Isoler une charpente traditionnelle est tout aussi indispensable en présence de combles perdus. Il s’agit d’éviter la déperdition énergétique de l’ordre de 30 % par le toit si aucune isolation n’est mise en œuvre.
Deux solutions existent :
Le prix des travaux d’isolation est globalement compensé par les économies d’énergie. Mais dans le cadre de la rénovation énergétique des bâtiments, des aides de l’état existent pour isoler la maison et notamment l’espace sous-toiture.